Gaza : La résistance vit, les portes de la prison s’ouvrent – Sur la voie de la libération et du retour

Les Palestinien•nes de Gaza ont envahi les rues, défiant les drones et les bombes sionistes qui les survolaient pour fêter l’annonce du cessez-le-feu et de l’accord d’échange de prisonnier•es signé à Doha, au Qatar. À chaque cri, à chaque acclamation, à chaque drapeau palestinien brandi, à chaque feu d’artifice tiré dans les airs, il était plus clair que jamais, qu’en dépit de toutes les destructions, les massacres horribles, le génocide et les dizaines de milliers de martyrs tué•es par le régime sioniste et ses alliés, soutiens et pourvoyeurs de fonds impérialistes, ce dernier a totalement échoué dans les objectifs qu’il s’était fixé. Le peuple palestinien et sa résistance restent fiers, honorables et inébranlables, tournés vers un avenir dans lequel le projet sioniste génocidaire sera entièrement vaincu dans toute la Palestine, la nation arabe et la région. Tout au long de cette grande lutte contre le génocide, les prisonnier•es ont été au cœur de la lutte de libération nationale et de la Résistance, le peuple palestinien s’étant engagé à obtenir la liberté des prisonnier•es et à poursuivre la lutte, même dans les circonstances les plus horribles.

Gaza et les prisonnier•es : Au cœur de la lutte

Bien que tous les détails de l’accord de cessez-le-feu et de l’échange de prisonnier•es n’aient pas encore été communiqués, de nombreuses clauses sont très claires, notamment le retrait total de toutes les forces sionistes de Gaza, la réouverture du point de passage de Rafah, l’entrée des camions d’aide humanitaire et du matériel nécessaire à la reconstruction, ainsi que l’exfiltration des blessé•es palestinien•nes hors de Gaza pour être soigné•es, après une agression qui a délibérément ciblé les hôpitaux et détruit la quasi totalité du système de santé palestinien. Aux côtés de la population de Gaza, qui résiste depuis 466 jours à une agression génocidaire d’un violence extrême, les prisonnier•es palestinien•nes, qui subissent de graves tortures, sont également au cœur de cet accord, la Résistance garantissant la libération de toutes les femmes et de tous les jeunes de moins de 19 ans, de centaines de prisonniers palestiniens condamnés à perpétuité, et de centaines d’autres prisonniers condamnés à perpétuité lors de la seconde phase de l’échange, ainsi que la fin des mesures répressives instaurées dans les prisons après le 7 octobre 2023. Les composantes les plus opprimées, marginalisées et torturées du peuple palestinien sont au centre de cet accord et au centre des priorités de la résistance.

L’impérialisme américain : Responsable et pourvoyeur de fonds du génocide sioniste

Il est clair, étant donné le rôle des États-Unis et du futur président Donald Trump dans les négociations pour la signature d’un cessez-le-feu avant l’inauguration présidentielle du 20 janvier 2025, chose inédite depuis octobre 2023, que les États-Unis, en tant que première puissance impérialiste, dirigent l’entité sioniste. Non seulement les États-Unis n’ont jamais tenté de parvenir à un cessez-le-feu, mais ils ont été les principaux responsables de l’escalade du génocide contre le peuple palestinien, aux côtés de l’entité sioniste illégitime implantée en Palestine. Bien sûr, ils ont été aidés dans cette agression – contre le peuple palestinien, la nation arabe, toute la région et, de fait, l’humanité entière – par leurs autres puissances impérialistes – le Canada, la Grande-Bretagne, l’Australie, l’Allemagne, la France et d’autres membres de l’Union européenne. Mais il est apparu à tous, alors que les États-Unis expédient des milliards de dollars d’armes mortelles au régime sioniste, allant jusqu’à construire un faux port “humanitaire” dans le seul but de soutenir un raid sioniste tuant des centaines de Palestinien•nes dans le camp de Nuseirat, que les États-Unis ont permis et commandé le génocide alors qu’ils pouvaient l’arrêter à n’importe quel moment.

Bien entendu, les États-Unis, malgré leur empressement soudain à permettre un accord de cessez le feu, n’ont pas pour but de préserver la vie des Palestinien•nes. Leur démarche obéit à des intérêts liés à leur politique intérieure et doit leur permettre de concentrer leur attention sur des intérêts impérialistes ailleurs. Mais la nature fondamentale de cet assaut en tant que génocide impérialiste-sioniste, mené avec des armes et des renseignements américains, n’est pas seulement gravée dans l’histoire, elle l’est aussi dans la réputation de “Joe le génocidaire” Biden, de “Kamala la tueuse” Harris et du parti démocrate, qui ont présidé alors que le monde assistait à l’incinération de dizaines de milliers de vies palestiniennes et à la destruction de toutes les universités et de tous les hôpitaux de Gaza.

La résistance armée défend le peuple et la terre

Il est également clair pour tous•tes que c’est grâce à la glorieuse résistance du peuple palestinien, en particulier à Gaza, que les bombes cesseront de pleuvoir sur la population palestinienne. Dans les conditions les plus difficiles, les plus désastreuses, la résistance palestinienne – menée par les Brigades Izz el-Din al-Qassam du Hamas, rejointes par Saraya al-Quds du Jihad islamique palestinien, et avec de multiples forces de résistance, dont les Brigades Abu Ali Mustafa du FPLP, les Brigades de la Résistance nationale du FDLP, les Brigades des martyrs d’Al-Aqsa des composantes résistantes du Fatah, et leurs camarades des autres groupes de la résistance en Palestine – a continué à se battre de manière héroïque et à porter des coups sévères aux soldats sionistes, les occupants génocidaires. Le camp de Jabalia, l’étincelle de la grande Intifada populaire de 1987, continue d’être le brasier d’où nait le feu de la résistance malgré la destruction génocidaire causé par la machine de guerre américano-sioniste. Avec un courage inégalé, une créativité et une stratégie brillante, les fedayins de Gaza n’ont jamais cessé d’infliger des pertes sévères à l’armée sioniste, abattant ses chars et ses soldats un par un.

De Gaza au Liban en passant par le Yémen et au-delà

La résistance palestinienne s’est battue tout au long de ces 466 jours, aux côtés de la brillante et héroïque résistance Libanaise, dirigée par le Hezbollah, qui a défendu et libéré la terre Libanaise des occupants sionistes à plusieurs reprises. Aujourd’hui encore, grâce à la résistance libanaise, les colons, apeuré•es, sont toujours dans l’impossibilité de retourner sur la terre qu’ils occupent dans le nord de la Palestine. Le Yémen, son peuple, son gouvernement, ses forces armées et son mouvement Ansarallah, inébranlables, qui ont fermé les lignes de ravitaillement du génocide dans la mer Rouge, refusé le passage aux porte-avions américains et continué à tirer ses missiles au cœur de la “Tel Aviv” de l’occupation, ont clairement indiqué que les bombes, les sanctions, les attaques et les menaces des forces sionistes et impérialistes ne les dissuaderaient jamais de se tenir aux côtés du peuple Palestinien et de sa Résistance. L’exemple du Yémen a illustré très clairement l’unité de l’action populaire – qui s’illustre par ces rues qui se remplissent de millions de personnes chaque vendredi lors des plus grandes marches pour la Palestine dans le monde – avec une résistance armée ferme et une action militaire. Dans cette bataille, elles ont été rejointes par toutes les forces de résistance de la région, de l’Irak à l’Iran, et du monde entier, contre l’ennemi génocidaire.

La résistance, avec le plus grand honneur, le plus grand dévouement et le plus grand amour de la Palestine, a lutté sans relâche pour défendre le peuple palestinien – et l’humanité toute entière — contre les forces sionistes/impérialistes génocidaires. Cette résistance a placé au centre de son combat, les plus opprimés des opprimés, dans la bande de Gaza assiégée, dans les prisons torturées, et ses actions, sa persistance, son refus de reculer et d’abandonner, ont vaincu les milliards de dollars d’armes génocidaires déployées contre le peuple palestinien dans la poursuite des intérêts impérialistes et sionistes.

Le sionisme exposé au monde entier

Personne n’aura plus jamais l’illusion que le régime sioniste est autre chose que ce qu’il est réellement : une entité coloniale génocidaire illégitime, implantée dans la région et au cœur de la Palestine. Un régime qui court à sa perte. La résistance invaincue qui défait l’occupant, ses grands martyrs, ses leaders vivants, ses combattants héroïques, sont les grands héros de l’humanité. Malgré les vastes destructions et le vol de vies humaines par les forces sionistes/impérialistes, malgré leurs crimes de guerre, leurs crimes contre l’humanité et le génocide en cours, elles n’ont pas réussi à atteindre ne serait-ce qu’un seul de leurs objectifs militaires. Elles n’ont jamais réussi à écraser, et n’écraseront jamais, la résistance, des décombres de Jabalia aux salles de torture de leurs prisons coloniales. Malgré les destructions, les massacres et le génocide, ils n’ont pas réussi à séparer la résistance du peuple palestinien, son berceau populaire. Au contraire, l’occupant, par sa défaite, constate que la résistance est profondément enracinée dans le peuple. Unis parles pensées, le sang et les corps brisant leurs chaines. Les forces armées de la résistance ont continué à recruter tout au long de la bataille, les Brigades al-Qassam et Saraya al-Quds reconstituant leurs rangs avec de nouveaux combattants réduisant en cendres les chars de l’occupant.

Le déluge d’Al-Aqsa a changé le monde

Le 7 octobre, la grande traversée, le Déluge d’Al-Aqsa, a changé le monde. Ce jour là, il est apparu aux yeux de tous•tes, que le peuple palestinien et sa résistance étaient capables de libérer la Palestine et que, malgré ses ressources technologiques et militaires, le régime sioniste n’avait rien d’autre que son idéologie raciste et suprémaciste, ainsi que les intérêts impérialistes pour le maintenir en place. Depuis ce jour, les forces régionales de résistance ont prouvé qu’elles étaient capables de libérer la nation arabe et toute la région de l’impérialisme américain. Les forces impérialistes et la colonie sioniste n’ont pas voulu accepter cette nouvelle réalité et y ont répondu par la seule stratégie dont ils disposent : les massacres et la destruction génocidaire. Comme nous l’avons vu au fil des décennies et des siècles en Asie, en Afrique, en Amérique latine et dans la région, ces forces ne se sont jamais abstenues de commettre des massacres afin de poursuivre leur vol des terres, des ressources et, par ce fait le vol de l’avenir des peuples du monde. Cependant, malgré leurs puissantes forces destructrices, elles ont été incapables de soumettre l’Algérie, le Vietnam, la Guinée Bissau – Cap Vert ; elles sont incapables de soumettre Cuba, le Venezuela et l’Iran ; et elles sont incapables de vaincre la glorieuse résistance en Palestine, au Liban et au Yémen. Au contraire, leurs objectifs militaires se sont brisés sur les rochers de la résistance.

Le génocide est inhérent au sionisme et à l’impérialisme

Cet accord ne signifie pas que le danger est écarté. De la Syrie au Liban, en passant par la Palestine et au-delà, il est évident que les États-Unis cherchent à contrôler l’avenir de la région et qu’ils n’hésiteront pas à commettre un génocide pour y parvenir. Ils chercheront à brouiller les cartes pour entraver une fois de plus la résistance et à utiliser leurs sanctions, leurs sièges, leurs mesures coercitives unilatérales et leurs “inscription sur les listes des organisations terroristes” pour atteindre leurs objectifs, par une politique de famine et de privation. Par conséquent, cette première victoire doit nous pousser à construire un mouvement plus large et plus fort contre l’impérialisme, capable de se tenir aux côtés des forces de résistance de la région pour affronter et défier le génocide impérialiste. Nous sommes conscient•es que les forces impérialistes et sionistes intensifieront leur répression au niveau national également ; l’interdiction et/ou la désignation de Samidoun par l’Allemagne, le Canada et les États-Unis n’en est qu’un exemple. Nous sommes conscient•es que nous devons être prêt•es à lutter contre la répression, à défendre les personnes attaquées et à construire un mouvement plus fort qui puisse entraver de manière significative l’assaut impérialiste.

Bien sûr, le génocide en Palestine n’a pas commencé en octobre 2023, et il ne se terminera pas avec la mise en œuvre de cet accord. Le génocide est la nature du sionisme ; c’est l’arme de l’impérialisme. Depuis 1948 – et avant cela, depuis la déclaration Balfour et le colonialisme britannique en Palestine – les Palestinien•nes résistent au génocide. Il s’agit toutefois d’une nouvelle étape de la lutte contre le génocide sioniste en cours, organisé, dirigé et soutenu par les puissances impérialistes – comme l’illustre le bombardement colonial du camp de réfugiés de Jénine, en Cisjordanie, au moment de l’annonce de l’accord de cessez-le-feu.

Honorer les martyrs

Alors que nous célébrons ce moment, nous rendons hommage aux grands martyrs, à chaque père, mère et enfant, à chaque sœur, frère et être cher enlevés par la force génocidaire impérialiste-sioniste. Nous honorons les médecins, infirmières, journalistes, travailleur•ses de la santé, enseignant•es, travailleur•ses municipaux, policier•es et travailleur•ses humanitaires pris•es pour cible par le régime d’occupation alors que ce dernier s’employait à anéantir tous les systèmes qui permettaient la subsistance, la vie et la fermeté palestinienne. Nous saluons les 55 martyrs du mouvement des prisonnier•es, assassinés dans les cachots de l’occupation, parmi les nombreux autres martyrs inconnus dans les camps de torture comme Sde Teiman, enlevés à Gaza par le régime d’occupation.

Nous rendons hommage aux grands leaders de la Résistance, dont l’héritage inégalé de lutte, de sacrifice et d’engagement vit dans chaque combattant de la résistance et dans chaque espoir pour l’avenir d’une Palestine libérée, d’un Liban véritablement souverain, d’un Yémen fier. Saleh al-Arouri, le grand combattant palestinien ; Ismail Haniyeh, l’icône de l’unité nationale palestinienne et de l’autodétermination ; Yahya Sinwar, le combattant légendaire et le prisonnier libéré qui s’est battu pour libérer les prisonniers, Gaza et toute la Palestine ; Sayyed Hassan Nasrallah, le grand dirigeant arabe et l’icône de décennies de résistance, l’artisan de la victoire sur les sionistes ; Sayyed Hashem Safieddine, le stratège héroïque de la résistance ; Ibrahim Aqil, Fouad Shukr, Ali Karaki ; Abdel Aziz Minawi, le membre du bureau politique du mouvement du Jihad islamique palestinien assassiné à Damas, et bien d’autres encore qui n’ont pas encore été nommés et honorés.

Alors que nous nous joignons au peuple palestinien pour célébrer ce moment, nous sommes pleinement conscients que le sionisme et l’impérialisme ne sont pas dignes de confiance, pas plus que les régimes arabes réactionnaires qui travaillent de concert avec eux. À maintes reprises, l’entité sioniste a violé ses accords et rompu ses engagements. Ces trahisons sont une leçon très claire pour la résistance palestinienne, le mouvement des prisonnier•es et toutes les forces de la Résistance. Il appartiendra au peuple et à la Résistance – comme toujours – de protéger le peuple ; et il nous appartient, dans le monde entier, de relever le défi de faire tout ce qui est possible pour mettre en échec tous les plans de l’impérialisme et du sionisme visant à imposer une “Pax Americana” à la Palestine et à la région. Le seul moyen de mettre véritablement fin au génocide en Palestine est de mettre fin à la colonie sioniste “Israël”.

Le berceau populaire international de la résistance

Au niveau international, le moment est venu de continuer à amplifier notre mouvement, et d’intensifier nos efforts pour construire le berceau populaire international de la Résistance. Au cours de ces 466 jours, des millions de personnes ont envahi les rues, au cœur des centres impérialistes, pour exiger la fin du génocide, la justice et la libération de toute la Palestine. Il est clair pour tout le monde dans le monde entier que le régime sioniste est une menace génocidaire pour l’humanité. La Résistance a affronté les mensonges et les campagnes de diffamation menées contre elle pour tenter de justifier le génocide et se dresse aujourd’hui en véritable défenseuse de l’humanité. Les Palestinien•nes et les Arabes en exil et en diaspora se sont levé•es partout pour s’organiser, se rassembler et jouer leur rôle dans la lutte pour la libération de la Palestine. Des actions directes comme celles de Palestine Action, face à la machine de guerre, ont permis de fermer des usines d’armement et les bureaux des marchands d’armes israéliens. Les étudiant•es se sont soulevés et ont bousculé la vie des campus, pour mener une intifada mondiale. Le boycott, de plus en plus pratiqué, a illustré le dégoût populaire international et le refus de la complicité dans un génocide. Et pourtant, nous avons aussi des leçons à tirer : Nous ne pouvons pas avoir un mouvement réussi ou servir de partenaire à la résistance sans être clairs sur le rôle de l’impérialisme, et tout aussi clairs sur la centralité des forces de résistance.

Les responsables de l’assaut génocidaire contre Gaza, le peuple palestinien et la région, doivent rendre des comptes et payer pour leurs actes. Leurs crimes ne seront ni oubliés ni pardonnés ; des ingénieurs et architectes du génocide dans les allées du pouvoir aux soldats de l’occupation qui diffusent leurs tortures et abus sur les médias sociaux, en passant par les propagandistes qui ont menti au monde pour blanchir un régime génocidaire, nous devons travailler à tous les niveaux pour imposer de véritables poursuites pour arracher la justice face aux auteurs de ces crimes horribles.

Tout comme le pouvoir de la résistance, les faiblesses du mouvement ont été mises en évidence : le silence effectif des masses arabes dans une grande partie de la région, bâillonnés par des régimes réactionnaires armés et financés par l’impérialisme américain, le rôle central du régime égyptien dans le maintien du siège de Gaza, les arrestations de militant•es et d’activistes en Jordanie et au Maroc, sans parler de la normalisation des Émirats arabes unis. Face à tout cela, nous devons nous organiser, consolider et développer nos organisations. Nous ne devons pas avoir le souffle court devant ce qui sera une lutte à long terme, afin de jouer véritablement notre rôle en tant que berceau populaire international de la Résistance.

Unité et nécessité de l’anti-impérialisme

Notre force et notre unité viennent du fait que nous nous dressons ensemble contre la répression et pour la libération, et non du fait que nous permettons à nos ennemis de nous couper les un•es des autres par une politique qui cherche à s’accommoder de l’impérialisme génocidaire, de l’autocensure et de la subordination. Ce sont la résistance armée, les prisonnier•es palestinien•nes et, bien sûr, le peuple de Gaza, qui ont exposé le sionisme et l’impérialisme à la face du monde, et défaits tous leurs objectifs militaires, ouvrant les portes de la liberté aux prisonnier•es héroïques de la cause palestinienne, promettant un avenir palestinien qui sera déterminé uniquement par le peuple et non par ses occupants, ses envahisseurs et ses ennemis. Il s’agit d’une empreinte indélébile et d’un moment historique sur le chemin de la libération et du retour dans toute la Palestine, qui se rapproche chaque jour un peu plus.

Le réseau Samidoun de solidarité avec les prisonnier•es palestinien•nes salue le peuple palestinien et sa Résistance et s’engage à poursuivre et à intensifier la lutte pour la libération.

Gloire et victoire à la résistance, de la Palestine au Liban et au Yémen et partout dans la région. La défaite finale du sionisme et de l’impérialisme approche. Et la Palestine sera libre, du fleuve à la mer.


En savoir plus sur Samidoun : réseau de solidarité aux prisonniers palestiniens

Subscribe to get the latest posts sent to your email.