Tuesday, 26 January
8:30 pm
Utopia, 24 rue Montardy
31000 Toulouse, France
Facebook: https://www.facebook.com/events/441336089403413/
Evening discussion on the case of Georges Ibrahim Abdallah and the struggle for his liberation. Abdallah has been held as a political prisoner in France for 32 years, and is today held in Lannemezan prison.
The event is organized by La clé des ondes Bordeaux, with Coup pour Coup 31, collectif Palestine libre and BDS-Toulouse.
Screening of the film “Après la guerre, c’est toujours la guerre”
followed by a discussion on Georges Abdallah, the situation and Palestine and BDS.
“Georges Ibrahim Abdallah is the oldest political prisoner in Europe,” says his lawyer, Jean Louis Chalenset. Sentenced to a life sentence for complicity in murder (his involvement in which was never proven), he was in fact sentenced for his resistance to the Israeli occupation of Lebanon.
Eligible for release since 1999, his sentence has been maintained despite several approvals of his parole applications, including refusals at the highest level of the French state.
Why is justice denied in this case?
“Après la guerre, c’est toujours la guerre” (After the war, is always war)
Documentary film, Samir Abdallah, Lebanon/France, 2008. 1 hr 20 minutes.
A travelogue shot in Lebanon during and after the 33-day war in the summer of 2006. In Beirut with an international delegation of solidarity, the director joins his friends, Lebanese journalists planning the launch of a new newspaper, Al-Akhbar, during the Israeli attack on the country. The ceasefire allows the journalists to travel to southern Lebanon at the request of Handicap International to investigate the massive number of cluster bombs dropped by Israel in the last days of the war.
Beyond destruction and smells of death, even if “after the war, is always war,” the people remain standing with a great desire to live.
The film will allow us to introduce the resistance of Georges during 1982, at the moment of the invasion of Israel’s invasion of Lebanon.
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Soirée débat pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah, prisonnier politique en France depuis 32 ans à Lannemezan.
Organisée par La clé des ondes Bordeaux, en partenariat avec Coup pour Coup 31, collectif Palestine libre et BDS-Toulouse.
Projection unique du Film de APRES LA GUERRE C’EST TOUJOURS LA GUERRE
Suivi d’un débat sur Georges Abdallah, la situation en Palestine et la campagne BDS.
« Georges Ibrahim Abdallah est le plus vieux prisonnier politique en Europe » dixit son avocat Jean Louis Chalenset. Condamné à Perpétuité pour complicité d’assassinat (sa participation n’a jamais pu être prouvé) en fait, pour sa résistance à l’occupation Israélienne du Liban.
Libérable depuis 1999, sa peine a été maintenue sans jamais lui faire bénéficier des mesures de libération conditionnelle. Malgré ses multitudes demandes, le pouvoir a toujours refusé. Enfin en 2012 le tribunal d’application des peines lui a accordé en première instance et en appel une libération qui doit être suivie de la signature d’un arrêté d’expulsion du ministre de l’intérieur.
Par un subterfuge juridique, la cassation a cassé l’appel sous prétexte que le ministre n’a pas signé l’arrêté et que monsieur Abdallah doit faire de la probation. En général les étrangers sont expulsés à leur libération sauf pour lui. Les pressions extérieures sur le gouvernement et ces refus non justifiés font de lui un prisonnier politique qui est en détention administrative. Pourquoi ce déni de justice?
APRES LA GUERRE, C’EST TOUJOURS LA GUERRE.
Film Documentaire de Samir Abdallah Liban/France 2008, 1h20 VOSTF
Un carnet de route tourné au Liban pendant et après la guerre de 33 jours de l’été 2006. Parti pour Beyrouth avec une délégation internationale de solidarité, le réalisateur rejoint ses amis journalistes libanais qui vont lancer un nouveau journal, Al Akhbar (Les Nouvelles) pendant le siège israélien du pays. Le cessez le feu permet aux journalistes de se rendre dans le sud pour, à la demande de Handicap International, mener une enquête sur les bombes à sous munitions qu’Israël a larguées par millions dans les derniers jours de la guerre… Au delà des destructions et des odeurs de la mort, et même si « après la guerre c’est toujours la guerre », le peuple reste debout et tient avec une formidable désir de vivre.
Ce film nous permettra d’introduire la résistance de Georges dans les années 82 au moment de l’envahissement du Liban par Israël.